Girls just wanna have fu-un~!

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule (pfff, bah oui, tu savais pas ça ?? >) ), parallèlement à mon entretien de boulot et de pôle emploi (qui m’a bien fait perdre du temps), j’essayais de mener à bien un autre plan machiavélique : intégrer Pauline-ma-coupine là où je travaille.

Une collègue partant en congé mater, la chef-suprême demande à Obi-Wan (allez, on est assez proches, appelons-le juste par son prénom !) s’il connait quelqu’un. Il dit que non, mais me demande aussi, au cas où.

A la minute où j’ai lu son message, j’ai immédiatement pensé à Pauline. Elle a la même spécialité que celle qui partait MAIS, en PLUS, elle avait une spécialisation chez l’adolescent !!! Je me suis dit que c’était trop beau et j’ai répondu à Obi-Wan : « je connais la personne qui correspond EXACTEMENT. »

Hop, hop, j’appelle ma coupine, que j’avais pas vue depuis quelques années, vous savez ce que c’est, je lui demande si elle cherche du travail, elle me dit que oui, je lui dis de postuler ici, elle me dit « je prépare ma candidature ! » ! Elle l’envoie dans la semaine et on attend impatiemment un entretien avec la RH.
On a attendu un peu quand même (et on a eu le temps, entre temps, de revoir les copines autour d’un brunch), mais ça y est, elle a son entretien. Je lui ai proposé de l’accompagner pour ne pas qu’elle prenne un taxi (pas de transports en commun), donc pour cela, il fallait pas que ce soit sur mes journées de travail, ni quand j’avais entretien boulot et pôle emploi, qui s’étaient casés sur les mêmes semaines que pour l’entretien potentiel de Pauline !

BRAAAIF, rdv avec la RH, ça a été, next : rdv médecins. Un autre jour encore, donc niveau organisation, y’a pas à dire, on a géré. J’ai juste dû venir un vendredi en fin d’après-midi alors que tous mes collègues rentraient chez eux lol…

Verdict lundi suivant : SHE GOT THE JOB !!!!!!!!! \o/

Ca fait deux semaines qu’elle a commencé, je suis ravie de travailler quasi-tous les jours avec ma copine et de voir à quel point elle fait bien son boulot, c’est super enrichissant et c’est le top !!!

On est allées fêter ça avec les copines, dont ma binôme qui revenait, le temps des vacances, de Guyane, et on avait prévu d’aller manger des tapas. Le resto qu’on avait prévu avait l’air bien, mais manque de bol, il était fermé jusqu’à la fin de la semaine. On s’est rabattues sur un autre, hop hop, réservé samedi, hop hop, on arrive lundi soir et…

« Je suis désolé, je ne vois aucune réservation pour 6. »

Ma figure s’est décomposée en direct live, mais tant pis, on va suivre le plan B d’une copine.

Plan B d’une copine qui est fermé (définitivement) apparemment.

Plan C d’une AUTRE copine.

Ouuuuf, c’est 1) ouvert et 2) y’a de la place.

On a trinqué, on a mangé, on a papoté, on a rigolé, elle était belle la vie !

On a quand même vite fatiguées, donc on ne s’est pas éternisées. Je devais raccompagner Pauline dans sa campagne, là où elle vit désormais (= pas loin de notre lieu de travail), parce qu’elle avait un souci de voiture.
Alors pour vous faire un rapide topo, il faut, pour y aller, traverser une forêt. Une graaande forêt où vivent des animaux sauvages (sangliers, biches, cerfs, renards, lapins). En bientôt trois ans, je n’avais toujours pas croisé d’animaux, sauf, récemment (en janvier), deux adorables petits faons (j’étais gaga). Bien sûr, c’était en pleine journée.

Là, j’ai eu l’occasion de traverser la forêt en pleine nuit noire. J’ai appris à conduire avec les feux de route et j’ai flippé à MORT quand on était dedans. Ca faisait super peur et j’avais la trouille de ma vie de voir surgir un cerf, une biche, ou un sanglier. Au final, on a croisé un renard très mignon, mais j’ai quand même sursauté.

On est arrivées à bon port et je redoutais de retraverser la forêt toute seule, cette fois. J’ai changé la musique, parce que Regina Spektor, c’est bien, mais ça me faisait trop flipper dans ces conditions >) et j’ai mis les Veronicas à la place.

J’avais le choix entre rouler à vitesse normale (mais vite, en pleine nuit) pour déguerpir d’ici le plus vite, ou rouler plus lentement pour pouvoir éviter les obstacles, mais rester plus longtemps dans la-forêt-noire-noire-qui-fait-peur-la-nuit. J’ai opté pour le second choix, plus prudent, et je n’ai pas rencontré d’autres bêtes.

C’est une expérience que j’espère… ne pas réitérer ! ¦D

Puis je suis rentrée et me suis écroulée sur mon lit ! End of the story :3 !

Suite et fin qui finit bien ?

Edit : Pffff, fuck l’horodatage, je me suis plantée, des publications étaient prévues pour ce week-end…

Comme promis, je vous raconte la suite de mon histoire à multiples rebondissements (ma recherche de travail, au cas où t’as rien suivi).


Question : l’entretien était-il toujours d’actualité ?

Réponse : Oui ! J’ai appelé à 9h et on m’a dit que la médecin me rappellerait. J’ignorais que j’avais rdv avec elle, mais soit, et je commençais à angoisser un peu en priant qu’elle n’appelle pas genre, à 9h50.
Elle a, en fait, rappelé 5 minutes après pour confirmer.

Je me prépare doucement et prends mon plan de route, parce que je voulais éviter la francilienne.
Evidemment, j’avais pas retenu l’itinéraire par coeur, mais juste le début, en comptant sur mon GPS intelligent pour qu’il me guide sur la bonne voie.
Mais évidemment, mon GPS est stupide et a insisté pour que je prenne la francilienne. Au final, ça a été, mais je le maudis quand même.

J’arrive, je me présente à l’accueil et on me fait patienter. La médecin est assez spéciale, je la suis et je n’ai quasiment pas parlé de tout l’entretien. Au final, je savais juste que c’était pour un temps plein, mais aucune idée CDI/CDD, ni ce que je serais censée faire, rien. On a parlé salaire, mais j’étais un peu prise de court, donc on a calculé à partir de ma dernière fiche de paie pour avoir une idée (je n’ai jamais été à temps plein). J’ai bien plu à la médecin et elle m’a dit qu’elle laisserait un avis favorable, mais que le choix reviendrait aux resssources humaines, par rapport aux exigences salariales, et que j’aurais des nouvelles sous deux semaines.
Je sors et appelle immédiatement mon Obi-Wan Kenobi pour lui raconter, et aussi lui demander son avis sur le salaire que j’ai demandé, parce que ça me paraissait peu. Il en ressort que j’ai demandé beaucoup, hahaha, parce que la fiche de paie sur laquelle on s’était basées pour faire le calcul était celle de… décembre ! Avec la prime, tutafé ! ¦D

Et vas-y qu’une fois rentrée, je tente désespérement de joindre la médecin pour corriger mon erreur, sachant qu’elle n’a pas de ligne directe, ni de mail, et que l’endroit où je suis allée passer l’entretien est très petit, ce qui fait que j’ai saoulé la même standardiste pendant une bonne heure. Tellement qu’elle a proposé, à la fin, de prendre un message.


Question : Et en attendant la réponse ?

Réponse : Les deux semaines se passent très bien, tout le monde me félicite pour l’entretien et croise les doigts pour moi. Quand, je n’ai toujours pas de nouvelles, j’appelle, en début de troisième semaine, pour avoir des nouvelles. La RH me dit qu’ils sont encore en train d’étudier les dossiers et qu’ils me tiendraient informés dans la semaine. Ok. Et qu’ils m’enverraient une offre de poste.

What ?

Je ne comprenais absolument pas ce que ça signifiait, et j’ai eu beau retourner cette phrase dans tous les sens, j’étais toujours aussi perdue. Envoyer une offre de poste alors qu’ils ne sont pas encore décidés sur la personne à engager ? Vous avez dit bizarre ?

La troisième semaine se finit, toujours pas de nouvelles. En attendant, j’ai un Obi-Wan Kenobi qui me harcèle pour que je les harcèle (ça s’appelle un comité de soutien). Lundi (après capitulation face au forcing dudit comité) de la quatrième semaine, j’appelle à reculons (je déteste relancer, j’ai l’impression de faire la grosse relou), en prétextant demander s’ils avaient reçu les documents que je devais envoyer. La RH regarde, me dit que non, mais peut-elle se permettre de me rappeler ? Euh, oui, bien sûr, je vous en prie.

J’attends encore qu’elle me rappelle.

Jeudi, j’appelle la médecin. Qui me répète qu’elle n’a pas le pouvoir et n’est pas au courant du processus, mais qu’elle laissera un mot aux ressources humaines pour me tenir informée. Comité de soutien fait de l’ultra forcing pour que j’appelle immédiatement les RH, mais une consultante (aka copine-collègue) tranche en ma faveur : vendredi, mais que j’ai intérêt à le faire, blablabla.

Vendredi, j’appelle, en expliquant (ce qui était vrai) que je suis désolée de rappeler, mais que je suis sur le point d’être renouvellée là où je suis et qu’ils attendent ma réponse. La RH me répond que ma candidature a été retenue (moi : « Ah !! Vraiment ?? » (non teubé, c’est une blague)) et qu’ils me proposent de commencer en septembre, ce qui fait que je peux tranquillement renouveller mon contrat actuel et que l’offre de poste a été envoyée par courrier. J’ai reçu le courrier plus tard dans la journée, il s’agit d’un poste à temps plein et en CDI, baby !!!!!

Tout est bien qui se finit, j’espère !!, bien ? Je serais « rassurée » (c’est un bien grand mot, car nouvelle situation = plein d’angoisses, chat échaudé craint l’eau froide, nesspa ?) une fois que j’aurais reçu le contrat ou commencé.


Question : Comment j’ai fêté ça ?

Réponse : Tu le sauras dans le prochain article, mwahaha !

RockaBilly

« And I want to thank three persons, I want to thank Billy Wilder, I want to thank Billy Wilder, and I want to thank Billy Wilder. Thank you very much ! »

♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Maca-what?

Ehhhh, Macarena !

Je m’étais jurée de ne plus retoucher aux macarons (foirages immortalisés ici et ), mais c’était sans compter sur Lly.

« Tu fais quoi vendredi ?
– rien, pourquoi ?
– ça te dit de faire des macarons ?
– ouais, ok !!! »

On a été très ambitieux, lui n’en n’avait jamais fait auparavant et moi, j’ai, ahem, mon glorieux historique. Courses, puis pizzas en regardant un film avec un extra-terrestre, des enfants et Gary Hobson, et allez hop, c’est parti.

On a été ambitieux, je disais donc, parce qu’on a visé 3 recettes *insérer smiley qui rigole bêtement*. Si pour les courses, on a été au top niveau organisation, question matériel, ça a été un peu moins fluide (comprenez 3 allers-retours entre nos deux domiciles pour ramener la poche à douille et les oeufs, puis pour oubli de tamis (2 fois), de spatule en bois, en plastique et chocolat (3 fois)). Heureusement qu’on habite qu’à 5 minutes l’un de chez l’autre !

BRAIF ! On a commencé par le chocolat, ganache + biscuit – les blancs étaient trop beaux – et la 1ère fournée était moche et mal cuite (la faute à qu’on n’a pas regardé à quelle heure on avait enfourné la plaque). Le 2ème était plus cuite mais toujours aussi moche, haha. Mais la ganache était bonne, pas trop lourde, trop sucrée, ni trop chocolatée.
Ensuite, on a continué avec le citron. C’était pas si difficile de faire la crème de citron et elle était délicieuse *trop fière*. On a foiré les blancs, mais les biscuits étaient mignons après cuisson !
On a enchainé sur la framboise, baptême du feu pour faire une confiture (je vous avais dit qu’on était fous ?) et commencé la préparation pour le biscuit. On commençait à fatiguer, genre marathon top chef (l’épisode de la semaine, quoi), on y était depuis quatre heures !!! Du coup, j’ai laissé Lly finir le lendemain (je devais rejoindre la mienne, de cuisine, pour faire le dîner, dur dur xD !).

Le lendemain :
« Heyyy !!! ILS SONT TROP BEAUUUUUUX !!
– hein? C’est vrai ????
– oui sont trop beaux, on a réussiiiiii !!! »

Je n’ai pas de mérite parce que je n’ai fait que la commis à tamiser les poudres, mais c’est sûr qu’on refera ça !!!

Je ne vous mets une photo que des framboises, qui sont vraiment maaaaagnifiques, je confirme ! J’ai des photos des autres aussi, mais Lly me tuerait si je les mettais, donc seules nos familles respectives ont eu l’honneur, le privilège, l’obligation de les voir et de les manger mok*
[spoiler show= »Fais voir ! » hide= »Wooooouuuh, ça tuuuuue ! »]
[/spoiler]

Blabla de février

Oui, mes titres sont toujours supers.

Je fais une petite pause dans mon récit, j’attends de connaître le dénouement pour raconter ça !

Donc en attendant, vais continuer à parler de moi, hein, parce que c’est quand même le sujet principal.

– Ifétré froid, c’est devenu la routine de voir -8° le matin et -1/-2° l’aprèm sur le thermomètre. Par contre il a neigé hier soir, mais heureusement, la neige n’était pas importante au point de gêner ma conduite ! Pour demain, let’s see, mais je crois que ça sera chaud la semaine prochaine.

– Pôle Emploi, c’est un peu naze. J’ai grillé quelques heures de ma vie pour qu’on me dise à la fin de mon entretien : « Alors… Il n’y a pas d’offres dans votre domaine actuellement. Travaillez votre réseau, faites des candidatures spontanées et recontactez les employeurs. » (merci, je n’y aurais jamais pensé toute seule).

– Leur agence de cadres, c’était nul aussi et ça m’a pris une après-midi et ma grasse matinée.

– Je déteste les bowling.

– Je suis un peu (…beaucoup) sceptique par l’épisode musical de Grey’s Anatomy.

– THE VOICE S2 A REPRIS DEPUIS LE 5 FEVRIER PEOPLE !

– Top Chef euh… c’est long 4h…

– Mémo : Dr House mardi *_* !

Pis ça n’étonnera personne, mais suis fatiguée u3u (Avouez, ça vous a manqué >:) )

Que peut-il se passer en une semaine?

Bonne année everybody ! Souhaitons nous le meilleur pour l’année 2012, l’année du dragon-tout-mignon (j’y reviendrai dans un prochain post) !

Je suis en train de vivre une semaine de dingue. Je vous en parle maintenant alors qu’elle n’est même pas encore finie, tellement il y a de choses à vous raconter.

Petit prélude : j’ai passé les 4 jours précédant cette semaine à bosser deux lettres de motivation, et j’ai aussi brunché avec des copines dimanche (mais ça n’a pas de rapport avec l’histoire, mais j’avais fait ça aussi, donc tant que j’étais à raconter ma fin de semaine dernière).

Lundi :
Je me décide à appeler Pôle Emploi pour savoir si j’ai droit à des aides, étant donné que CDD number 2 venait de s’achever (passons le fait que j’aurais pu faire cette démarche 4 mois plus tôt, à la fin du CDD number 3, si j’avais su, mais ce n’était pas le cas…), en attendant de trouver d’autres CDD. Mardi prochain, rdv à Pôle Emploi fixé pour m’inscrire. En parallèle, j’envoie les deux lettres que j’avais préparées.

Mardi :
La DRH d’un des deux établissements m’appelle l’après-midi pour fixer un rdv pour un entretien. Great !
Petit détail, il faut juste que j’appelle jeudi pour confirmer, parce qu’elle a un rdv vendredi, qui, s’il est confirmé, fait qu’elle me décale à une autre fois, et s’il est annulé, fait que mon entretien est maintenu.
Euh… oui, ok.

Mercredi :
Bossage, après-midi rempli et speed, tellement que j’avais oublié que la stagiaire devait venir, oups.

Jeudi (so, today) :
Hahaha…
Crevée dès le matin, mais m’étais couchée tôt pourtant. Je n’avais même pas fini l’épisode de Grey’s Anatomy, pour vous dire.
Grosse journée de prévu, mais la matinée se déroule bien.
L’après-midi, j’appelle. Une fois, deux fois, trois fois… j’arrête de compter. Je ne peux pas appeler du téléphone du travail car le numéro commençait par 08, et par portable, donc, j’apprends que la minute est à 12cts depuis un mobile.
O-KAY.
Bref, je commence à m’énerver sur le téléphone parce que j’arrive à avoir personne. Ah, la secrétaire répond. Je lui demande si je peux parler à la DRH, elle me répond que celle-ci n’est pas là de la journée.
Ah.
Est-ce qu’elle saurait si mon rdv pour demain est confirmé?
Elle jette un oeil à l’agenda et ne voit pas mon nom.
Ah, hum, c’est embêtant.
Qu’est-ce que je peux faire?
La secrétaire a donc l’idée géniale de me demander de téléphoner demain matin à 9 heures, afin que je puisse avoir confirmation si j’ai bien mon entretien demain à 10 heures.
Ah… Euh, oui, d’accord…
On va passer sur le fait que je ne savais pas où se déroulerait l’entretien, et quand elle m’a sorti un nom bien seine-et-marnais (mais pas du tout la ville de la clinique où j’ai postulé, ni la ville où était censée se trouver les recruteurs d’après leur site internet), je ne pouvais pas chercher sur internet, car il y a eu une p*tain de coupure de net au travail, avec, en plus, la messagerie interne qui ne fonctionnait plus !!!!! Pendant toute l’après-midi.
Je passe aussi sur le fait que je suis allée prendre rdv avec ma supérieure hiérarchique, afin de discuter de mon temps de travail, entre autre, et sous couvert de l’entretien annuel avec les feuilles d’évaluation à remplir, mais que ça n’a pas loupé, cette malaimable de secrétaire m’a envoyé chier.
« *ton de bouledogue* Mais vous n’avez pas besoin de prendre de rdv, donnez-moi les feuilles et gnagnagna gnagnagna circuit habituel (j’ai décroché à ce moment-là). »
Moi, qui ne lui fais absolument pas confiance, vu comment elle fait mal son travail :
« Ah, d’accord. Mais pourrais-je prendre un rdv avec elle quand même?
– pour quoi faire?
– pour discuter de mon temps de travail. »
Et là, le gros cul(ot) de première, elle s’accoude à son bureau, me regarde par-dessus ses lunettes :
« – Pourquoi, vous voulez passer à combien ? »

Euh…….. Ca te regarde, CONNASSE????

« – (intérieurement : « garde ton sang-froid, garde ton sang-froid, garde ton sang-froid… ») Je veux juste. parler. de mon temps. de. travail. (et occupe toi de tes affaires, espèce de $@!#\) »

Bref, j’ai rarement été aussi énervée, et gros suspens pour demain, ça peut être du quitte au double ! Sachant déjà que je vais avoir un mal fou à me retenir de leur cracher ma haine pour leur non-professionnalisme.

Les paris sont ouverts, une des possibilités sera la bonne, mais laquelle ???
– Je me lève tôt, j’appelle, on me dit que c’est pas pour aujourd’hui : je me lève dans le vent.
– Je me lève tôt, j’appelle, on me dit que c’est pour aujourd’hui : ce qui est normalement prévu… mais laborieusement su.
– Je me lève tôt, j’appelle, on me propose plus tard dans le journée : bricolage.
– Je me lève tôt, j’appelle, ça ne répond pas, et je sais que j’irai quand même : cauchemar.

N.B. : Bon, 8 heures après, je crois que j’ai réussi à me calmer :D

Week-end épique

Hello you all !

Le week-end est passé, la semaine a commencé et je suis toujours vivante. Si vous avez tout suivi, je craignais d’être extrêmement fatiguée par cet enchaînement sans transition. J’étais épuisée jusqu’à mardi matin – il faut dire que se lever à 12h aide *un peu*.
Donc, maintenant que ça va mieux, je vais pouvoir raconter tout ça ! (ndla : J’ai commencé à écrire cet article mardi dernier, mais au vu de la longueur et du manque de temps, il n’est publié qu’aujourd’hui)

***SYNOPSYS***

Le fameux week-end organisé par l’association pour fêter Noël (oui, comme pour Halloween, on fête tout en avance), quelque part en Bourgogne. J’y officie en tant qu’animatrice bénévole, mais pour le week-end, j’étais également en charge du menu (aussi appelé communément : responsable bouffe).

ACTE I – La préparation du menu

J’étais pas mal occupée en novembre (et aujourd’hui encore, mais bon), donc je ne l’ai fait qu’une semaine avant. Je me suis beaucoup inspirée de celui de l’année dernière, parce que j’avais pas d’idées, que c’était bon, et que, comme je l’avais fait *ahem*, je me permettais de repomper sur moi-même, mwahaha.

Au menu donc : foie gras/terrine + confiture de figues et d’oignons, gratin dauphinois et boudin blanc aux pommes et mousse au chocolat en dessert. Le lendemain (on s’en fout un peu plus, du repas du dimanche, mais je le place quand même), salade, pâtes carbonara et salade de fruits.

Jamais mangé de boudin blanc (et encore moins avec des pommes), mais j’ai fait confiance à un ami pour le coup (qui me l’aurait payé très cher si ça avait été dégueu/trop difficile à faire/pas plu. Il a de la chance d’être mon ami, hein :D ?).

ACTE II – Les courses

Comme on est des gens (et des filles, pour le coup) super organisées, on prévoit de faire les courses à 3, dans un Auchan de la région parisienne, un vendredi fin de journée. Oui, bon, c’est pas l’idéal, mais on n’avait pas trop le choix niveau planning.

Déjà, on est trop toutes au taquet, on arrive toute à l’heure. L’agent A est arrivée en avance et l’agent S, en voiture, arrivait juste quand je sortais du métro. On roule jusqu’au supermarché, hop hop, on se gare, hop hop, c’est partiiiiiii ! On avait pensé aux sacs de course mais… Pas au jeton de caddie. Pas grave, on fouille dans nos porte-monnaies et là, malheur, aucune n’a une pièce de 1€. 2€, 50cts, 20cts, 10 cts, oui, mais pas 1€… On a bien essayé d’enfoncer les pièces de force, mais ça n’a pas marché. Bon, tant pis, on va prendre des paniers…

Des courses pour 20 (VINGT) personnes.
3 petites nénettes.
Des paniers, mais oui, oui. (Sans problème, jte dis)

On démarre bien méthodiquement en faisant chaque rayon. Je disais quoi prendre dans quel rayon et je barrais conscieusement ma liste.
Pour un supermarché qu’aucune de nous ne fréquentait (je vous ai dit qu’on était des oufs??), on s’en est très bien sorties, on a mis exactement deux heures. Par contre, ce qui devait arriver arriva, nous n’arrivions plus à porter les paniers. L’agent A va nous chercher une sorte d’armature roulante sur laquelle on pouvait poser deux paniers, mais comme on est trop géniales, on a pu en mettre trois dessus. Hourray !!
Gros hic : les paniers, il faut les laisser à la caisse. On n’a pas assez de sacs, et il faudra faire plusieurs allers-retours supermarché-parking. Ou alors… On arrive à avoir un p*tain de caddie !! L’agent A se charge d’aller quémander de la monnaie contre les 2€ de l’agent S, mais personne n’est d’une grande aide. Pas grave, elle sort et revient… avec un caddie qui trainait tout seul dans un coin ! Il roule, c’est parfait pour nous !
Mé-tho-di-ques, ces courses, on a trop bien géré.

La journée n’est pas encore finie, mais on va faire une courte pause pour permettre des pause-pipis à celles et ceux qui veulent.

***ENTRACTE***

Ca y est ? On est repartis ? Okay !



ACTE III – Post-Courses, pré-départ

Scène 1 – La soirée

Après ces courses énergiques, l’agent A et moi nous sommes dirigées chez l’agent R, lui-même en compagnie d’un ami. Ce qui était drôle, c’est que c’est l’agent A qui a proposé que nous dormions chez l’agent R, avec ou sans son accord lol. Du coup, maintenant on se fait des blagues du genre qu’on va inviter des gens chez les autres, huhu. Bref, et ce qui était drôle aussi, c’est que l’ami de R était censé l’aider à cuisiner pendant qu’il travaillerait. Mais qui s’est retrouvé à cuisiner pour 4? C’est le pauvre bibi, qui n’avait rien demandé à personne !!
On papote, on papote, puis vient l’heure de dormir (on squatte le canapé alors que R doit se contenter de dormir par terre (le pauvre, i know !!)) : 1h45. Sauf que ce que je ne vous ai pas dit, c’est qu’on se levait le jour J à 6h. AHEM !

Scène 2 – Le matin

Ouuuh, fa…ti…gués…! Allez, hop, au taquet (même si un peu ralentis), tout le monde se prépare. J’ai droit à un bon chocolat chaud avec du chocolat en poudre à la date de consommation limite dépassée (lol). R, qui m’accuse d’être toujours en retard est à la BOURRE, et au lieu de partir à 7h, on part à 7h15. On rate le train, EVIDEMMENT, enfin bref, on est arrivés avec 20 minutes de retard.

Sur le chemin, on s’est trimballé un paquet de trucs, y compris un cadeau (c’est week-end Noël !) pourri (donc pour les animateurs, et une en particulier) qui fait du bruit dès qu’on le bouge. Un « Maaaw, Maaaw ! I love you ! I love you ! ». C’était très fun de se balader avec. Et pendant ce temps, je découvre qu’il pleut (je n’ai pas regardé la météo).

Acte III – Le car

(alors lui, il mérite un acte pour lui tout seul)

On arrive, il pleut toujours, joie. On attend le chauffeur de car (R nous avait confié la veille qu’il y avait déjà eu des soucis quant à la réservation du car et que ce fut compliqué), qui ne trouve pas la gare de RER…
Ca commence bien.

Il arrive avec je sais pas combien de temps de retard, parce qu’il fallait qu’il tourne et puis machin et puis bidule. Bon, allez, GO, il est enfin là, direction l’assoc’ pour récupérer des trucs !

Alors fait étonnant, une fois arrivés, on commence à charger. Et quand je dis on, je veux dire les membres de l’association et nous animateurs. Le chauffeur ne bouge absolument pas son cul. Bon, ok.
Mais là où j’ai pas apprécié, en dehors du fait qu’il était sympathique comme une porte de prison et qu’il est arrivé en retard parce qu’il ne trouvait pas la gare, qui, soit dit en passant, est assez GRANDE, et qu’en plus, il me gonflait à pas démarrer alors que le feu était repassé au vert, et qu’il a gonflé A et R en disant « Ah mais je peux pas tourner ici, c’est un car que je conduis », genre « non mais t’as cru quoi ? » (mais les autres des années précédentes y arrivaient très bien et n’étaient pas des chieurs comme lui, mais c’est PAS-GRAVE…), c’est qu’il s’est permis de CRITIQUER ma façon d’arranger le chargement dans la soute !!! Soit tu m’aides et tu fais comme tu veux, soit tu aides pas et tu fermes un peu ta gueule, non ?!

Bon, bref, on part ENFIN ! Les heures passent et on commence un peu à crever la dalle (on n’avait pas vraiment petit-déjeuné, je compte pas une boisson chaude pour un petit-déjeuner consistant), mais le chauffeur ne voulait pas qu’on mange dans son car. Ok, à la pause pipi, alors. Sous la pluie, à côté des chiottes, on mange nos petits croissants et pains au chocolat pendant que les autres remontent… Et on voit, sous nos yeux ébahis, le car redémarrer et… s’éloigner.

Euh…??

Ok, il s’est arrêté dix mètres plus loin, mais ceci était un signal subtil de la part du chauffeur de nous dire de nous magner le cul, et plus vite que ça, parce que monsieur a un client à 13h (Ok, mais en attendant, s’il avait su trouver la foutue GARE, on n’en aurait pas été là, et je tiens à rajouter qu’on est arrivés largement avant 13h (mais très bizarrement, il attendait exactement 13h pour repartir rejoindre son autre client… Lapin tout compris)). Bon, bref, on s’est bougées en avalant les croissants sans trop les mâcher, c’est bon, on était repartis.

(Attention, ce qui va suivre est une situation totalement irréaliste pour moi et, je pense, pour l’agent A)

On arrive dans la petite ville. Puisque le week-end de l’année dernière s’était déroulé au même endroit, l’agent A et moi savions à quoi nous attendre. Je reconnaissais l’endroit par le style des maisons, on allait bientôt arriver.

On s’arrête en plein milieu d’une intersection.

Que pasa ?

On m’appelle vers l’avant du car, j’arrive.

R : c’est bien ici ?
Moi : oui oui, on est bientôt arrivés.
Le chauffeur : Bah ça y est, on est arrivés là.
A : Non mais, on est bientôt arrivés, c’est pas ici. (comprenez : Crétin, dépose nous devant la baraque et pas au MILIEU de la rue !!!!)
Le chauffeur : Vous êtes sûrs que c’est ici ??
Moi (je vois R assez inquiet) : Mais oui, on n’est pas loin !
Le chauffeur (son super GPS lui disait qu’on était à l’adresse indiquée. Je veux pas dire, mais il est pourri son GPS. Ou alors, on me souffle dans l’oreillette qu’il n’a pas mis le numéro de la rue, ce qui est fort possible) : C’est quoi l’adresse ?
A : Mais vous l’avez, c’est 25 Rue Verd***. La rue Verd*** est là, à gauche, et on est au 1.
Le chauffeur : Mais vous êtes sûres que c’est là ? (Non P*TAIN, on aime bien inventer des adresses pour aller se perdre !!!!)
A et Moi : Bah oui, c’est là (mais on n’étais pas passées par ce chemin l’année dernière, donc on ne pouvait pas affirmer à 100%, mais faut pas abuser).
Le chauffeur : … Vous voulez pas aller vérifier ?

Ouais, on va prendre une minute pour encaisser le choc.

Moi : Non mais… On va pas remonter la rue. En plus, il pleut. (genre, l’argument ultime : « En plus, il pleut. » Je sais pas à quoi je pensais lol, mok*)
Le chauffeur : Allez-y.
Il ouvre la porte.

Ouais, une minute supplémentaire, hein ?

Je vois A descendre, donc je vais la rejoindre SOUS LA PLUIE.
A est une personne très calme, mais elle était bien énervée.
On commence à pester sur le chauffeur, en remontant l’historique des faits qui lui sont défavorables depuis seulement 3-4 heures, et il en tenait déjà une sacrée couche.
On court, on court, on arrive au 25 et, ô surprise !!! Notre ETABLISSEMENT, pile à l’ADRESSE EXACTE. Comme c’est étonnant, ça, par exemple, on s’y attendait pas du tout.
On remonte la rue, toujours en pestant contre ce connard de chauffeur (et toujours sous la pluie), on remonte dans le car et on lui dit : « C’est bien là (gros con !!!) !!! »
Alors la rue était un sens interdit, le bon sens aurait été de tourner à gauche à la prochaine intersection. Non, monsieur jugeait la route trop étroite, et celle d’après aussi (alors que NON, franchement, on passait)… Et il demande même à A : « Je tourne où ?? »
A, SUPER énervée et super sèche : « Ecoutez, je n’ai pas mon permis, je ne peux PAS vous dire !!! »
Du coup, il ne tourne toujours pas à gauche… et on continue tout droit et on s’éloigne. A un moment, son cerveau a dû se connecter, parce qu’il fait demi-tour, tout en soupirant, genre « pfff… n’importe quoi » (non mais faut mieux choisir ton boulot si t’es nul). Et je ne sais pas quel MIRACLE, nous sommes enfin arrivés.

ACTE IV – Le week-end à proprement parler

Scène 1 – L’arrivée

On descend avant pour faire le repérage et trouver la personne qui doit nous remettre les clés, et avec qui nous devons faire l’état des lieux.
« Y’a quelqu’un ? » Non, pas de réponse. Je vais voir dans un petit bâtiment et je trouve un monsieur qui répare une chaise.

Moi : Bonjour ! Excusez-moi de vous déranger, vous savez s’il y a quelqu’un ?
Le monsieur, un peu étonné : Euh, oui, moi.
Moi : Ah ! Euh, alors on est l’association qui vient pour le week-end !
Le monsieur : …L’association ? Je suis pas au courant…
Moi : Ah…?
Le monsieur : …Et je suis le directeur.

Oulà, ça sent mauvais.

Le directeur : Je finis ce que je fais et j’arrive.
Moi : Ok !

Je rejoins A, R, S et je leur dis : euh… le directeur est pas au courant qu’on devait venir ce week-end.
R appelle M, qui était chargée de réserver l’endroit. Et qui a fait une boulette, car rien n’a été confirmé et réservé, ni payé. A sa décharge, elle ne savait pas que c’était à elle de le faire, d’autant plus qu’elle ne venait pas pour le week-end.

On retrouve le directeur, qui s’est avéré être vraiment conciliant et qui nous a dit qu’il y avait de la place, qu’on pouvait rester (je vous dis pas si on avait dû faire l’aller-retour avec je ne sais même pas quel chauffeur puisque le nôtre se barrait à 13h), et qu’on avait de la chance parce que d’habitude, il n’est jamais là à cette heure-ci mais qu’il avait décidé de travailler un peu plus, vu qu’il avait pris du retard.

Alleluia, béni soit cet homme.

Scène 2 – Let’s live our lives

Après avoir déposé les bagages, attribué les chambres et fait l’état des lieux, on se pose enfin pour manger. Hotdogs avec de la moutarde qui pique bien et du ketchup, Danette Chocolat Blanc ou Perle de Lait Crème de marrons (c’était le week-end expériences). Pour ceux qui ne connaissent pas, j’ai testé pour vous et le Perle de Lait Crème de marrons est très bon, et le Danette Chocolat Blanc ressemble à du Danette Vanille (haha, tout ça pour… ça) !

Ensuite, j’ai installé la sono (mwahaha, trop la classe), parce que j’étais la seule à savoir le faire, puis pendant la sieste de nos membres, je me suis attaquée à la mousse au chocolat, étant donné qu’il faut la mettre au réfrigérateur plusieurs heures. Heureusement que je connaissais déjà la cuisine, c’était très pratique. J’avais pile poil de quoi remplir 15 ramequins (parce qu’au final, on était 15 et non pas 20, donc mes proportions pour 20 sont plutôt des proportions pour 15, ahem).

Puis quand tout le monde s’est réveillé, place aux activités ! A et S avaient prévu de nous faire faire des coussins à décorer soi-même (j’ai pas eu le temps d’en faire un vu que j’étais aux fourneaux en même temps, snif !) et des oranges-clous de girofle ! Je ne connaissais pas et ça sent bon ! J’ai pas encore récupéré la mienne, mais j’ai pris une photo qui n’est pas gégé, alors vais attendre de l’avoir pour vous la montrer dans toute sa splendeur !

J’ai pas eu le temps de me faire un coussin, cuisine oblige, donc suis allée finir la préparation du repas. Ensuite, on a pris l’apéro tous ensemble, y’a eu l’ouverture des cadeaux, puis mon merveilleux repas, bwahahah. Comme je le disais, je n’avais jamais goûté du boudin blanc (et donc encore moins cuisiné), je suis pas fan, mais c’est comestible ! En tout cas, ça a plu, c’est l’essentiel.

Après le repas, place à la soirée dansante ! J’adore les soirées et thés dansants à l’association, parce qu’on n’écoute et ne danse que sur des chansons des années 80. Lundi, en me réveillant, j’avais encore « Partenaire Particulier » dans la tête. Les membres vont peu à peu aller dormir, on reste entre animateurs pour papoter, grignoter et jouer à des jeux débiles.

Le lendemain matin était tranquille, tout le monde se lève doucement, petit-déjeune, puis je file en cuisine pour préparer le déjeuner. La journée s’est globalement bien déroulée, même si un de nos membres mettait nos nerfs à rude épreuve, mais c’est le jeu ma pauvre Lucette.

Scène 3 – Le retour

Le car (avec un autre chauffeur, Dieu merci) était censé arriver à 16h. 16h, personne… 16h15, 16h30… A et S commencent un peu à s’inquiéter et il se trouve que le chauffeur s’était perdu… Le directeur est allé l’aider à retrouver son chemin et alleluia, ils arrivent aux environs de 17h. Je passe sur les coups de fil d’A, S et R aux parents pour prévenir du retard, des membres qui sont énervés d’avoir une heure de retard ou énervés tout court, allez hop, on charge et roulez jeunesse !

Le chauffeur était très sympa, le car était super hi-tech et on a regardé Shrek et un autre film (un peu naze… et le pire, c’est que j’ai pas pu voir la fin !) : Street Dancers (You got Served en VO) (Merci IMDB… On remarquera qu’il est noté 2.8/10, d’ailleurs).

On arrive enfin à bon port, avec, logiquement, une heure de retard. On dit au revoir aux membres très rapidement, sous une pluie battante, et on ne s’éternise pas non plus entre animateurs. Le temps de rentrer à la maison, il était 23h. Manger + se doucher = 1h du matin. Et qui c’est qui doit se lever à 6h35 pour reprendre le travail ? Oui, c’est bibi !!

So, Week-end de fous OR WHAT ??

The Good Wife

Pardon, pardon, ça fait au moins 3 fois (à vue de nez) que je vous saoule avec cette série, mais j’y peux rien, elle est trop bien !!

Si vous ne la regardez toujours pas, je vais tâcher de vous y forcer convaincre.

Déjà, l’histoire. Ca parle d’une femme forte, qui doit traverser des épreuves à cause de son con de mari.

En plus, elle est intelligente.

Et cerise sur le gâteau, c’est elle :


Ensuite, il y a ses boss :


Josh Charles

Ex-petit copain… Qui l’aime encore (en même temps, who wouldn’t, right ?)

Et elle :


Christine Baranski (la maman folle de Léonard dans TBBT)

Une boss trop classe, trop intelligente, bref, trop bien.

J’aime beaucoup cette photo, qu’on a vu dans un épisode de la semaine dernière ;) :


Je trouve que l’actrice a une beauté atypique et qu’elle sait définitivement se mettre en valeur. J’en veux pour preuve :

En tout cas, elle est une actrice vraiment talentueuse (même si je ne la connais que d’ici et de TBBT).

Nous passerons ensuite à ses collègues :

Une indienne trop belle et qui s’habille trop bien. Pareil, elle est intelligente, débrouillarde et ne se laisse pas faire :


Archie Panjabi

C’est une des seules photos potables qu’il y avait, toutes mes excuses, mais on arrive à voir son super style non ?

Et une autre photo de l’actrice, qui a gagné l’Emmy de la meilleure actrice dans un second rôle dans une série dramatique (j’attends pour Christine Baranski et Alan Cumming) :


luv luv luv ♥

Et mon petit chouchou (quoi, faut bien !!) :


Matt Czuchry

Je crois qu’il y a quelque chose avec les Matt. Déjà Matt Bomer, et maintenant lui *_*… Il était marrant dans le genre petit con sympa, mais son personnage a gagné en maturité.

Enfin, mon autre chouchou, le directeur de campagne du mari :


Alan Cumming

L’acteur est excellent aussi. Je ne l’ai pas reconnu sur le coup, mais après avoir vu sa filmographie, mais oui bien sûr, il incarnait…

[spoiler effect= »slide » show= »Qui donc ?? » hide= »Pfff, mais ouiiiii !! »]
Nightcrawler, of course !![/spoiler]

Ces 6 personnages sont vraiment mes préférés, ils sont vraiment bons. Le casting est très bien dans son ensemble, même si je ne parle pas de Chris Noth (mais il est très bien dans son rôle, lui aussi) :


Je trouve la photo un peu pourrie mais bon, y’a tout le monde. Je disais donc que le casting était très bien fait, même si on peut éventuellement se passer des deux à gauche (Grace, la fille, et Jackie, la belle-mère) :p. Jackie était un personnage intéressant au début mais… plus maintenant, hélas.

Enfin, les personnages secondaires récurrents sont top, on les déteste, on les adore, ils nous font ch*er, ils nous font rigoler… bien comme il faut (Zach Grenier et Dallas Roberts me font toujours rire et il y a de supers guest stars :)) !)

***

Et pour celles (et ceux) qui ont regardé la semaine dernière, j’ai retrouvé la STAR de l’épisode, à savoir bien sûr :

[spoiler show= »mais QUI ?? » hide= »Hiiiiiii, il est trop chouuuuuuuu !!!! »]

OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! Kuchi-Paku de son nom !! Mwahahaha, il a volé la vedette de tout le monde dans cet épisode, j’espère qu’il aura un rôle récurrent mouhouhou mok*. Si vous cliquez sur la photo, ça vous emmène sur un site où l’acheter (de rien).[/spoiler]

Cet article touchant à sa fin, je vous ordonne donne rdv devant la téloche ce soir !

P.S. : faites semblant de voir les photos centrées, merci (ahem).

Edit : OMFGWTFBBQ !! FIN DE SAISON TONIGHT !!!!!!!

Back and Tired !

« Nombreux articles, vous aviez dit nombreux articles ??? »

Anyway, je suis de retour (pour l’instant) et fatiguée (traduction littérale du titre si bien choisi. Attention, le blog s’ouvre à l’international !).

Un post très court pour me plaindre de ma fatigue éternelle, néanmoins accrue depuis le changement d’heures. Bien sûr, dormir plus en week-end pourrait aider (mok*), mais ça sera pas pour tout de suite (j’ai très peur du week-end qui arrive + enchaînement de la semaine qui s’en suivra parce qu’il ne sera point de tout repos…).

Aussi, j’aimerais prendre le temps de me vanter d’avoir trouvé des cadeaux de Noël pour mes soeurs, « Mesdames et Messieurs, des applaudissements s’il vous plait ! » (clap clap clap clap). Il faudrait quand même que j’avance mes projets tricot, sinon je vais me les cailler cet hiver.

Rien de neuf à la télé, mais c’est pas plus mal, ça me fait moins d’excuses pour dormir tard (j’ai pas dit que j’ai pas d’autres excuses en réserve, mais une de moins, c’est déjà pas mal mok*). Donc en ce moment, c’est « I love Djoudjou » à gogo (et toi aussi Will, Cary, Diane, Eli, Kalinda… je vous aime tous ♥ ! (Enfin, pas trop Grace quand même))

Mon CDD number 2 se finit très bientôt également. Si l’organisation (administrative, institutionnelle) me plait moyennement, j’ai un petit pincement au coeur de devoir lâcher mes patients… Les plus sympas que j’ai en ce moment, en tout cas.

Décembre signera le début du renouveau !! (Hmmmm… J’ai hââââte de me remettre à chercher activement un poste…)

See you in the next post ! (un tit doute mais je crois que ça se dit…)

Things have changed

Hello par ici !

Pas d’articles depuis un tit bout de temps parce que les choses ont effectivement changé, mais pas de la façon escomptée.
Plus de place number 3, je l’ai appris lors de mon avant-dernier jour de travail (gloups).
Plus de problèmes de bureaux at place number 2, et moins d’échanges avec mes collègues car j’ai dû changer de matinée de travail, carrément ouais, pour pallier au problème logistique (s’il fallait attendre que ça bouge là-haut… on y serait encore !). Un peu moins de motivation, d’inspiration, d’implication, ça reviendra peut-être avant décembre.
Heureusement que ça se passe bien at place number 1, mais il faut que je me bouge pour chercher (encore) autre chose pour (encore) compléter.

Il fait moche, froid et nuit en ce moment (on va pouvoir dormir une heure de plus demain, c’est déjà ça !). Il faut que j’achète de nouveaux habits pour affronter la saison et j’ai fièrement fait des emplettes (pas beaucoup : un manteau, un haut et une ceinture) sur internet (session shopping irl à venir aussi).

Faut commencer à réfléchir pour les cadeaux de Noël aussi !! Si vous avez des idées pour vous ou pour vos proches, n’hésitez pas ! Pour ma part, je m’achèterai moi-même mes fringues/produits cosmétiques/CD&DVD&livres, vu comment c’est la mer à boire, et comme je veux pas racheter de la laine avant d’avoir bien vidé mon stock, je dirai que je n’ai besoin de rien (si ce n’est du temps+++, du pouvoir, de l’argent, la beauté, la paix dans le monde, donc bonne chance mok*)

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas mok*, permettez moi de vous le présenter :



(Faites semblant, comme moi, de le voir centré, hum.)
Petit smiley que j’aime d’amûr lol, on peut tous comprendre pourquoi, nesspa ?

J’essaie de revenir bientôt avec de nouveaux articles !

Take care !