2023, here I am !!!

Entrée en fanfare… suivie d’une prise de pieds dans les tapis puis d’une chute. *End sceeeeene*

Enfin, en fanfare, c’était plutôt mi-figue mi-raisin mais j’avais envie (pour une fois) de voir le verre à moitié plein.

Comme d’habitude, je n’écris pas souvent donc j’ai pleinnnnnnn de trucs à te raconter (sorry u_u…), alors let’s go !!! (je te préviens par contre, c’est pas toujours rigolo…)

Temps de lecture estimé : 13 minutes


Alors… Si je regarde les articles de 2022 par rapport à l’année 2022 en elle-même, il y aurait beaucoup de choses à dire. Mes quelques rares articles sont plutôt positifs, rigolos alors qu’en fait, je vivais des choses compliquées et j’étais bien loin d’imaginer où tout ça me mènerait (pardon pour la concordance des temps, Marc, je fais au feeling xD) ! Et pour autant, lorsque je fais une petite synthèse de l’année, je ne retiens que des choses positives ! Voyons ça, ensemble, un peu en détail.

En janvier, je publie un petit article bilan qui résume ce que j’ai fait et aimé de l’année d’avant, le ton est pêchu et plein d’énergie et pourtant, ça commençait à faire des mois que je vivais une situation de harcèlement moral au travail. À l’heure où je publiais mon premier article, je pensais pouvoir encore gérer la situation mais à la fin du mois (au moment de mon deuxième article), j’ai commencé à somatiser, c’est-à-dire que mon corps a parlé parce que je ne m’écoutais pas assez (et toujours pas d’ailleurs mais ne vous inquiétez pas, mon corps parle très fort pour que je prenne soin de moi donc je n’y échappe plus !). J’avais parlé une n-ième fois du problème à ma cheffe de service qui, incompétente en management comme elle est, m’a dit qu’elle était impuissante et m’a dirigée vers le mec des ressources humaines, qui lui-même était en arrêt maladie (oui, c’est un environnement très sain, je vous confirme (pas)). Donc fin janvier, j’étais en train d’attendre que le DRH revienne de son arrêt maladie pour que moi-même je puisse poser le mien, parce que je suis bête et disciplinée et que je voulais faire les choses dans l’ordre. Je n’ai pu le voir qu’en mars, merci bibi, trop bête bibi, à attendre alors que je n’allais pas bien.

(♥ ce film)

Je l’ai donc vu en mars, il n’a pas été plus utile mais au moins il était officiellement informé de la situation. Par contre le « pourquoi vous n’en parlez que maintenant ? », j’aurais pu volontiers m’en passer, #victimblaming.

En avril (troisième article), j’étais, pour la première fois de ma vie, en arrêt maladie. A cause d’un harcèlement moral donc. Quand je suis revenue, l’établissement ne m’a pas plus protégée, ils m’ont laissée mariner dans ce jus dégueulasse parce qu’il y avait une situation plus prioritaire (= ça concernait un médecin et sans médecin, plus personne ne bosse, donc la petite psy qui pleurniche…) et ça a mis looongtemps à se résoudre (une situation problématique de harcèlement à la fois please, monotâche-wise) et donc à mon retour, je me suis refait harceler. J’ai voulu m’arrêter à nouveau à deux reprises mais bêtise/conscience (franchement, à ce stade, c’était vraiment équivalent) professionnelle oblige, j’ai fait passer le boulot avant ma santé. Le DRH m’a aussi conseillé de voir la médecine du travail et j’y ai été très bien accueillie (non), parce que le médecin a plutôt passé son temps à m’engueuler qu’il ne pouvait rien faire pour m’aider. C’était génial, j’ai passé un très bon moment (toujours non).

En juin, comme j’ai bien compris que personne n’allait m’aider (le temps d’arrêter de faire confiance aveuglément à la hiérarchie comme une petite élève bien sage, je suis un peu longue à la détente) et que du coup, on n’est jamais mieux servi que par soi-même, j’ai annoncé à ma cheffe que je ne retournerai plus jamais dans l’unité de l’enfer. Et elle a juste dit ok.

J’étais un peu mieux d’avoir envoyé chier ce service de merde. Les vacances d’été se sont passées et c’était super chouette (il y aura un article dessus, promis) puis à la rentrée, le directeur et ma cheffe de service m’ont dit qu’ils ont une proposition officielle pour mon problème (ah bon, je ne savais pas que j’en attendais encore une ?). Que je serai à temps plein sur l’unité où j’étais déjà MAIS que j’allais quand même continuer à travailler pour l’autre service horrible parce que « les patients ». Donc toi, professionnelle, rien à foutre. Par contre, super protection, ma cheffe de service fera tampon entre le service et moi, les demandes passeront par elle. J’ai pleuré de rage et de déception car je n’avais pas la possibilité de dire non. J’ai bien dit que j’allais être à la merci du prochain médecin, parce que bye bye la cheffe de service (elle a annoncé sa démission en juin, j’en parle juste plus bas, sorry pour l’organisation du récit, tu comprendras pourquoi et oui, sans doute que j’aurais pu trouver comment faire mieux mais tu vois bien que j’ai pas trouvé. Sorry not sorry pour cette parenthèse ÉNORME qui fait que tu dois relire le début de la phrase) qui m’a lâchement balancé un « il faudrait du recul pour faire un point, au moins une année scolaire » (comprendre « donc, pas avec moi ») et j’ai insisté pour faire un point avec le directeur, genre ma seule bouée de sauvetage quand même à moitié dégonflée mais j’allais pas cracher dessus, qui a dit « oui, oui, oui ». Et guess what ? A la rentrée, ce n’est pas du tout ce qui s’est passé (what ??? Shocking) ! Le directeur s’est mis en arrêt puis est parti en catimini et ce service de Détraqueurs, avec son Voldemort aux commandes, a réussi à bien me vampiriser du temps et de l’énergie et ma super protection, c’était du flan. Donc en novembre, j’ai remis les gens à leur place, à savoir ma cheffe dans la boucle, que ça lui plaise ou non et j’ai dit au connard de me laisser tranquille. Pour aller plus loin et pour celles et ceux qui connaissent bien l’univers, j’avais un Patronus de merde (mon flan de cheffe) qui a quand même fait l’affaire (très peureux, ce Voldemort ou plutôt Détraqueur en chef en réalité (ouiii, parce que Voldemort s’en fiche des Patronus)).

Environnement de travail toxique, là

J’ai un mis un stop à ce connard de psychiatre parce que mon actualité professionnelle ne s’est malheureusement pas résumée qu’à ça. Ayant le luxe de travailler sur deux unités, j’ai eu deux actualités parallèles et bien bordéliques chacune. Le service où je me suis fait harceler donc, et d’où j’étais parvenue plus ou moins à m’extraire, puis le service principal, celui que ma cheffe de service gère au quotidien (so sorry Marc pour la concordance des temps, c’est n’imp). Je vous ai dit qu’elle était une piètre manageuse et c’est peu dire la violence que j’ai vue et subie (mais beaucoup, BEAUCOUP moins que mes chers collègues, ceux dont je parle dans mon article de janvier 2022) et croissante depuis 2020. On a énormément lutté pour *juste* instaurer un climat de travail (shocking, mais je vous assure que ce n’était pas la préoccupation de la majorité, visiblement. L’endroit où tu passes la majeure partie de ta journée servirait à copiner et abuser de ton pouvoir sur des gens qui pensent différemment de toi (collègues ou patients) au lieu d’être au service de ces jeunes patients, vulnérables qui plus est, et de leur famille. Mes collègues psy et moi n’avions pas signé pour ce deal). Bref, à force de tentatives malheureusement échouées pour la plupart, deux de mes collègues sont partis, et à raison. Et ma cheffe de service a bien été obligée de faire le constat de toute la merde qu’elle a laissé s’installer (sans jamais eu avoir l’honnêteté de le dire clairement à tout le monde) et a décidé, en juin, de démissionner pour fin décembre (d’où le plan de merde fin août pour me dire qu’elle ferait tampon mais qu’il faudrait quand même que je tienne une année scolaire en tant que prestataire pour l’unité démoniaque).

Personnellement, j’étais bien contente qu’elle parte, vu tout le mal qu’elle avait fait. A la rentrée, la grande question était : allions-nous, en grande pénurie de médecin, trouver un(e) remplaçant(e) ?

Comme l’équipe n’avait pas compris qu’elle faisait de la merde, vu que la cheffe de service n’a jamais détrompé les infirmiers, cette superbe équipe, donc, a réussi à faire fuir la médecin adjoint. Je sais, un niveau pareil de fonçage dans le mur, je n’ai pas de mots.

Gordon n’en peut plus et encore, c’est pas fini

Donc là, le niveau de difficulté était doublé. C’était en plus une période compliquée parce qu’il fallait l’annoncer aux patients (l’absence de candidature nous a amené à déduire que le service fermerait. Qui ? Les RH ? Ah oui, non, rien à tirer d’eux (d’ailleurs, le DRH est parti en juin, poste vacant en cette période mouvementée (pas de DRH, pas de directeur) puis une nouvelle DRH est arrivée en octobre), ils ne nous ont rien annoncé, ne nous ont pas accompagné, avant qu’on ne les y ait obligé. Spoiler alert : ils ont fait de la bonne merde), il fallait mettre les patients dehors sans réel projet puis chaque professionnel s’inquiétait en même temps sur son propre avenir, ce qui était normal.

Moi, non, parce que je connaissais cet endroit depuis plus de dix ans, je connaissais beaucoup de services, beaucoup de collègues, je savais que mes compétences allaient servir quelque part – ailleurs que dans l’unité maléfique, bien sûr. J’avais commencé à prendre contact, à demander de quoi les services auraient besoin.

Je vais vous la faire hyper courte parce que c’est long et c’est pas forcément le plus intéressant mais la nouvelle DRH est tombée dans le panneau du psychiatre qui m’a harcelée et elle s’est donnée pour mission de le satisfaire et donc, de me refaire bosser pour lui. Jamais de la vie, j’ai résisté, j’ai donné plein d’alternatives.

Cette DRH est une des pires personnes que j’ai rencontrée de ma vie, stupide mais aussi manipulatrice, tyrannique. Elle ne connait pas mon travail mais me coupe la parole à chaque fois que j’ouvre la bouche. Ca a été très difficile pour les RH de recaser les cinq (dont moi) professionnelles non soignantes (les soignants ont été recasés plus facilement, vu la pénurie d’infirmiers), l’unité a fermé « temporairement » fin décembre. La plupart des collègues avaient des pistes, plus ou moins complètes (ma dernière collègue psy de la bande a trouvé ailleurs) et moi, aucune (pas du tout angoissant, n’est-ce pas, quand on annonce la fermeture de l’unité en octobre et que fin décembre, je n’avais toujours aucune perspective, à part, apparemment, retourner dans le service où j’ai été maltraitée). J’ai donc passé le mois de janvier toute seule, dans mon bureau parce que la RH avait autre chose à faire apparemment que de m’accompagner dans ma réaffectation. J’ai passé mon mois de janvier à répondre aux questionnements bienveillants mais identiques de tous mes collègues de « tu travailles où maintenant ? » par « dans mon bureau » parce que je n’étais rattachée à aucun service. Heureusement que j’ai toujours des projets pros donc j’ai travaillé dessus mais d’autres auraient beaucoup plus mal vécu cette situation que moi. Tant que je ne voyais pas la RH et que je me tenais éloignée des Mangemorts et compagnie, ça m’allait.

Les syndicats ont tiré la sonnette d’alarme depuis novembre mais là, ils ont mis le paquet. Notre nouveau directeur est arrivé début janvier, donc il a pris connaissance de la situation seulement à ce moment. Mais le mal était déjà fait, je m’étais déjà frottée à la RH, qui était d’une grande malhonnêteté et agressivité (spoiler alert : c’est pas fini). Les syndicats évoquent un service où je peux délester la neuropsy de sa liste d’attente, très bien, enfin ! C’est pas comme si je n’avais jamais proposé ça non plus mais certaines voix sont plus audibles, enfin, ça dépend surtout de l’interlocuteur en face… Cette semaine-là, j’étais en formation donc j’ai juste suivi de loin. Depuis fin décembre, je cherchais activement à partir car j’ai réalisé que cette institution était pourrie jusqu’à la moëlle. Pendant ma semaine de formation, donc, on me propose un entretien pour le lundi d’après, pour un poste, ailleurs. Mardi, il y avait grève. J’ai envoyé un message à ma collègue secrétaire pour lui demander de poser des jours de congé pour moi le lundi et le mardi.

Lundi, la RH débarque parce qu’elle m’attendait, elle avait convenu d’un entretien alors que je n’avais pas accès à ma messagerie de toute la semaine et mes collègues l’informent que je suis absente. Elle n’est pas contente parce qu’elle n’est pas au courant donc elle dit juste qu’elle me verra le lendemain, mardi. Mes collègues disent que je ne suis pas non plus là mardi et là, grosse confusion, je ne sais pas qui dit quoi ni comment mais il y a le mot « grève » qui est balancé et une sombre histoire que je ne voulais pas perdre d’argent (ce qui n’est absolument pas vrai et ne me demandez pas, je ne sais pas POURQUOI mes collègues ont dit ça). Lundi et mardi, je reçois des sms pour m’expliquer qu’il s’est passé ça, que la RH a mis mon mardi en jour de grève et qu’elle veut revoir avec moi mercredi (super, merci pour ce cadeau, démerde-toi avec, comme si c’était déjà pas assez compliqué avec cette dame). Donc mercredi, je découvre les mails, copie au directeur qui ne me connait pas, super, puis entretien, à la base pour me donner du travail mais ça commence par un « recadrage » que je ne peux pas faire n’importe quoi (oui, parce que toute personne qui me connait SAIT que j’ADORE faire n’importe quoi). Le ton est monté, j’ai dit que je n’étais pas responsable des dires de mes collègues mais que je lui confirmais que je n’étais pas gréviste mardi mais vous conviendrez aisément que ce serait plus facile si 1) elle ne me coupait pas la parole et me laissait finir ma phrase et si 2) elle m’écoutait. Apparemment, c’était trop en demander. Donc, abus de pouvoir time, elle me dit qu’elle est « gentille » parce qu’elle me laisse le lundi en jour de repos mais que pour le mardi, « c’est trop flou« , elle me le met en jour impayé. Et que si elle voulait être « méchante » (oui, oui, ce qui est entre guillemets, c’est les termes qu’elle a utilisé), elle me collerait deux jours impayés (oui, là c’est souligné mais pas entre guillemets, c’est parce que je suis trop choquée et vénère que je souligne). Evidemment, je ne voulais pas perdre deux jours de salaire, donc entre deux jours impayés et un seul, je préférais juste un seul. Alors que la réalité est que je n’aurais jamais dû en perdre de base, mais bon. Suite de l’entretien (oui oui, parce que ce n’était pas fini), parlons boulot, parlons bilans. Et là, elle sort un mail imprimé et lit la liste de patients que je dois voir… qui provient (devinez ?) du service où j’avais bien dit et répété que je ne voulais PAS Y BOSSER.

Vous l’aviez vu venir ? Parce que moi, pas.

Ça pourrait vraiment devenir un running gag, peut-être un jour, lorsque j’en serai suffisamment guérie. Mais franchement, là, j’ai abandonné. Ça faisait des mois et des mois que j’essayais d’éviter cette unité et de me protéger et là, je n’avais plus la force. J’ai viré les demandes grossières et inadaptées en l’expliquant à la DRH (je vous fais vraiment vraiment un résumé mais vous n’imaginez pas les trucs violents qu’elle m’a sortis, en mode que je ne savais pas faire mon métier ou que je critiquais celui de mes collègues alors que ce sont des choses que je ne pense évidemment pas) et j’ai dit OK pour les trucs les moins pourris. Puis, je fais un retour à mes collègues et aux syndicats et je me dis que l’entretien ne s’est pas SI mal passé mais que je ne sais pas trop quoi en penser.

Puis le soir, le Blond Vénitien me fait remarquer que je réalise la violence de l’entretien plusieurs heures après l’avoir vécue et fait un parallèle avec ce qu’il a vu dans des documentaires sur des vétérans de la Guerre du Vietnam (j’étais vraiment interrogative sur la fin de sa phrase à partir du moment où il a prononcé le mot « vétéran », je me demandais où il voulait en venir). Et bien, sa parole m’a fait réaliser que je n’allais pas bien et que j’étais en train de revivre un harcèlement moral. Et cette fois-ci, ça n’allait pas se passer comme la première fois (c’est-à-dire, toute seule à me débrouiller avec mon mal-être). Émotionnellement, j’étais en train de me liquéfier, je n’ai jamais autant pleurer sur une semaine. Sur les bons conseils des syndicats, j’ai déclaré un accident de travail à cause de cet entretien avec la DRH. La déléguée du personnel a alerté le directeur comme il fallait et il m’a reçue en entretien. Je crois que je l’ai traumatisé à autant pleurer et il a enfin fait son job, là où personne ne l’avait fait pour moi depuis plus d’un an. Il a mis le ola, il a dit qu’il allait me rendre mon jour de congé, que c’est lui qui gèrerai directement, il a dit à la RH de ne pas m’approcher et que si je dois la revoir, il sera là (je n’avais jamais eu de témoin malgré mon souhait parce que je savais qu’elle pouvait refuser donc je n’essayais même pas de demander) et que le service où j’ai été harcelée, il était en train de découvrir et de comprendre que la situation là-bas, c’était n’importe quoi (car bien sûr, je n’ai pas été la seule à y avoir été malmenée) et que c’était hors de question que j’y retravaille. Après, il a été honnête en disant que lorsque la future cheffe de service (en bonne voie d’être recrutée) serait là, ce sera sa vision qui primera et à raison.

Tout ça pour te dire qu’aujourd’hui, je suis dans mes derniers jours d’arrêt de travail et que l’année 2022 a été bien merdique.

Voilà, voilàààà !

Ne pars pas, c’est pas encore fini (quoi, « ohhhh nonnnnn ! » ?) !

J’arrive tard pour te souhaiter la bonne année 2023 mais j’ai compté sur le nouvel an lunaire (ça va, on est encore en février) !

Habituellement, lorsque c’est l’année de ton signe (tous les 12 ans car il y a 12 animaux, un par an), c’est censé être une mauvaise année pour toi.

I know, après ce que je t’ai raconté de mon année 2022, mais lis la suite.

SAUF (aaaaaahhh, petit twist), que tu peux en baver sévère soit l’année d’avant, soit l’année d’après, c’est pas obligé que ce soit sur ton année (ça va, tu me suis ?).

Dooooooonc, tu vois peut-être où je veux en venir, j’espère avoir bien douillé en 2022 pour que 2023 soit plus clémente avec moi !

Aujourd’hui, je cherche toujours activement du travail et c’est en très bonne voie pour qu’en 2023, je ne sois plus là où je suis actuellement. Certes, le directeur a l’air d’être quelqu’un de très bien, mais je ne peux pas être à la merci d’une médecin que je ne connais pas et, évidemment, un psychiatre sera toujours protégé par rapport à une psychologue. C’est pas grave, c’est le jeu. Mais cet établissement et plus largement la Fondation a quelque chose de vraiment pourri (il n’y a qu’à voir comment le Conseil d’Administration et la Direction Générale sont complètement hors sol), donc pas le choix, je sais que je dois partir tôt ou tard et mieux vaut tôt que tard !

Et malgré tout ce que j’ai vécu sur le plan professionnel l’année dernière, ce n’est pas du tout ce que je retiens lorsque je fais mon bilan de 2022 (il arrive enfin ! Promis, il sera court, je sais que ça fait looooongtemps que tu lis, là, patz) :

  • mes vacances en Croatie ♥ (article à rédiger, j’ai un peu de retard, sorry, tu sauras pourquoi avec les prochaines publications !)
  • mon atelier FAIRE (parce que j’avais dit, en 2022, que je FERAI, avec Nathalie Séjean notamment, sans savoir quoi, mais j’ai FAIT et j’ai adoré, je vous en reparlerai aussi)
  • nos photos culinaires pour un pâtissier local et comment j’ai pratiqué et progressé en photographie culinaire et en retouche photo. C’était un peu long sur la fin mais j’ai tenu grâce à
  • .+*+.Taylor Swift.+*+. et son nouvel album Midnights (avertissement : vous êtes sur le blog d’une Swiftie furieuse et obsessionnelle) (et sorry aussi pour la mise en exergue type skyblog/caramail, sans avertissement, lui par contre)

Très très peu de jardinage, de botanique et de dessin mais toujours beaucoup de séries, toujours du pain et toujours l’envie d’écrire ici !

(T’as rebouclé du coup avec mon intro ?)

Bon, et toi alors, c’était comment 2022 et comment tu voudrais que 2023 soit ?

Une réponse sur “2023, here I am !!!”

  1. Comme tu le sais deja..
    OMFG !
    On est de tout coeur avec toi <3
    Et j'espere vraiment que tu auras un service qui te mérite parce que t'es une personne exceptionnelle.
    Et bon karma pour les autres connards.

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