« Sinon pour « mourir de ça ou d’autre chose », mourez d’autre chose bande de cons ! (è_é) Pour dire ça, faut soit être jeune et ignorant (je m’inclus dans les jeunes ignorants ), soit vieux et borné (parce qu’on sait qu’on n’a plus le choix alors autant que ça ait l’air voulu). Un plaisir qui tue, dans le principe c’est nase ! Pour que j’accepte d’en crever faudrait que ça soit un putain de plaisir mais excusez-moi, une clope ça reste quand même un plaisir assez médiocre quand on y pense. Vous êtes pas là à vous tordre d’extase quand vous tirez une latte hein. Je ne parle même pas du plaisir que vous éprouveriez si, dans 10 ans, on rendait à votre corps la santé qu’il aurait sans la clope – chuis sûr que ça serait une expérience saisissante et que ça aiderait bien des gens à arrêter… Mais comme le changement est progressif et non soudain, et comme les gens manquent souvent d’imagination, on se dit que tout ira bien – ce qui est faux. Quant à mettre fin à ses jours plutôt que de perdre sa dignité, mon cul ! Tout le monde cherche à vivre, il n’y a que quand c’est insoutenable qu’on envisage vraiment de mourir ; mais à ce stade il est généralement trop tard… Quand on a le pouvoir d’y mettre fin on veut en profiter, et quand on ne peut plus en profiter on n’a plus le pouvoir d’y mettre fin. »